1 thought on “Trilogie de l’enfer, Variation, For Martine Wijckaert”
Thomas TurinePost author
“Langue puissante, sauvage, poétique et belle, dans ce spectacle fort, constitué de trois monologues, sortes de logorrhées expectorant une poésie morbide, lugubre, dans un langage magnifique, fleuri mais noir. (…)
Imaginée par Thomas Turine, la bande-son joue un rôle important dans ce spectacle saisissant, écrit et mis en scène par Martine Wijckaert. Répondant au décor sonore, celui de la scène, épuré, met d’autant plus en valeur les éléments qui s’y trouvent: une sorte de grande nature (déjà) morte. Yvette Poirier en mère indifférente et impitoyable et Véronique Dumont en femme-éléphant s’adressant à ses chérubins restés dans les limbes sont époustouflantes. La tirade finale échoit à Héloïse Jadoul qui ne se laisse pas démonter par ces deux performances. La jeune comédienne ne jure pas dans le tableau hallucinant que forme cet infernal trio.” Bernard Roisin in L’Echo du samedi 8 février 2014.
“Langue puissante, sauvage, poétique et belle, dans ce spectacle fort, constitué de trois monologues, sortes de logorrhées expectorant une poésie morbide, lugubre, dans un langage magnifique, fleuri mais noir. (…)
Imaginée par Thomas Turine, la bande-son joue un rôle important dans ce spectacle saisissant, écrit et mis en scène par Martine Wijckaert. Répondant au décor sonore, celui de la scène, épuré, met d’autant plus en valeur les éléments qui s’y trouvent: une sorte de grande nature (déjà) morte. Yvette Poirier en mère indifférente et impitoyable et Véronique Dumont en femme-éléphant s’adressant à ses chérubins restés dans les limbes sont époustouflantes. La tirade finale échoit à Héloïse Jadoul qui ne se laisse pas démonter par ces deux performances. La jeune comédienne ne jure pas dans le tableau hallucinant que forme cet infernal trio.” Bernard Roisin in L’Echo du samedi 8 février 2014.